Interrogations sur la rémunération d'Amélie Oudéa-Castéra en tant que dirigeante de la Fédération française de tennis
Interrogations sur la rémunération d'Amélie Oudéa-Castéra en tant que dirigeante de la Fédération française de tennis

Amélie Oudéa-Castéra mise en cause dans le rapport de la commission d’enquête parlementaire sur les fédérations sportives.

Un rapport parlementaire, prévu pour être publié mardi, met en lumière les « défaillances systémiques » et le « l’entre-soi » au sein des fédérations sportives françaises, à moins de six mois des Jeux olympiques de Paris 2024. La commission d’enquête critique sévèrement le fonctionnement des fédérations, soulignant des lacunes en matière d’éthique, de gouvernance et de lutte contre les violences sexuelles.

Le rapport dénonce également les rémunérations « très élevées, voire anormales » des dirigeants sportifs, dont Amélie Oudéa-Castéra, actuelle ministre de l’Éducation nationale et des Sports, visée pour son salaire de 500 000 euros brut annuel lorsqu’elle était directrice générale de la Fédération française de tennis. La commission relève une « minimisation » de sa rémunération de 86 000 euros et met en lumière des demandes de reconsidération des plus hautes rémunérations par l’inspection générale de l’éducation, du sport et de la recherche.

Le rapport souligne les réactions négatives lors des auditions, remettant en question les sommes allouées aux dirigeants au détriment du sport amateur.

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