Album posthume de Rachid Taha : très personnel, à son image
Album posthume de Rachid Taha : très personnel, à son image

“Je suis africain” est à l’image de son auteur décédé le 12 septembre 2018 : plein de panache, nourri de nuits festives et de joie contagieuse. En un mot : vivant.

Rachid Taha est mort à 59 ans d’une crise cardiaque, dans la nuit du 11 au 12 septembre 2018, alors qu’il mettait la dernière main à cet album.

« Tous les morceaux étaient prêts, avaient été validés, il n’y a eu aucune modification », ajoute son fils, 34 ans. « Mais l’ordre des chansons n’était pas défini, le « réal » (Toma Feterman) y a une grande part, Toma a fait le meilleur choix dans le déroulement ».

Le dernier morceau s’appelle… « Happy end ». « Ca c’est clair, ça reste un « happy end ». Mon père laisse une marque dans ce monde, avec tous ses albums passés mais aussi cet album posthume, car on n’est pas allés chercher des anciens enregistrements », insiste Lyès.

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